« Giscard devait venir aujourd'hui, dès qu'il ne peut pas, il m'envoie à sa place. »
Le président Valéry Giscard d'Estaing n'ayant pu se rendre dans la prestigieuse école. Un élève, aspirant à devenir président du bureau des élèves proposa l'idée d'inviter le candidat-nul, « phénomène politique » du moment pour le remplacer.
Pour marquer des points, l'une des listes en lice aux élections du bureau, a l'idée de se payer une bonne tranche de rigolade, c'est pas tous les jours à X...
La conférence est un vrai succès, Coluche marquera des points dès son entrée grâce à cette formule reprise dans les journaux : Giscard devait venir aujourd'hui, dès qu'il ne peut pas, il m'envoie à sa place. Le public se prend au jeu, même sur les blagues antimilitaristes.
Source : Bozonnet Grégory, La candidature de Coluche dans la presse pdf
Coluche-Hebdo, le site de la campagne du candidat-nul aux élections de 1981.
D'après des archives personnelles et le mémoire de fin d'études de Grégory Bozonnet, "La candidature de Coluche dans la presse...", septembre 2007, Lyon-2 [pdf]
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