Le monde dans toute sa folie, suit malgré tout, d'assez près, les prédictions juives.
Ça peut pas beaucoup nous surprendre puisque les Juifs sont les auteurs de toutes nos musiques, de toutes les danses dont la futile humanité trémousse, s'écartèle.
C'est la moindre des choses qu'ils s'y retrouvent dans les ritournelles du destin. Presque tout est advenu à peu près selon les présages depuis l'Égypte…
Rien à dire, l'un dans l'autre, dans l'ensemble, ça colle. Jusqu'en 1940, c'est bien comme ils avaient prévu.
Mais où ça ne va plus du tout, où la machine à prédire déglingue, cafouille, foire, déconne horriblement, où les Mages les plus déliés, les plus diserts, les plus surhumains pataugent, louvoyent, se noyent en furieux pataquès, c'est quand ils arrivent aux abords de l'année 1940.
Alors, ça va plus du tout. On les comprend plus. Leur charabia s'épaissit, c'est la nuit.
C'est plus qu'un ergotage horrible dans les rangs magiques. Ils nous laissent en panne devant les abîmes.
Même Nostradamus, le prodige des Vaticinants, le youtre que pas grand'chose démonte (il avait prédit les Saturnales 93, jour pour jour, 300 ans d'avance) s'interrompt, chipote, esquive, désiste, bouffe sa chique.
Les plus suprêmes superconscients du bout des siècles se débalonnent aux abords 1940. Rien ne va plus dans l'extra-lucide.
Tous les prémoniteurs s'étranglent.
1940 leur coupe le sifflet. L'au-delà 1940 pue les cataclysmes. Ça va trop mal pour qu'on en cause. Tous les voyants louchent ailleurs. Ils préfèrent. La mite les poisse… leur obstrue la divination…
Ils se touchent… Ils tortillent… Ils refusent de remettre leurs besicles. La fête est finie.
Pour moi, c'est la honte, c'est la chiasse qui les étreint, qui les poigne, qui les interdit… Ils gafent les Mages, (Ils sont tous aux Juifs), dans les horoscopes, les tarots, les marcs, salamandres, que ça sera un grand règlement 1940 !
Ils savent de quoi elle retourne l'Histoire, c'est eux qui l'ont engendrée, que c'est pitié infernale, démoniaque pitrerie, comme les Goyesse sont fait poirer, trucider, spolier, bénarer, hacher, foutriquer toujours et toujours par les Youtres, depuis le commencement des Âges !
La grande escroquerie masochisto-chrétienne, ils la connaissent dans tous les détours, tous les déclics, toutes les ficelles, tous les tréfonds des catacombes, depuis Moïse, depuis Pierre jusqu'à Belisha, de ghettos en ghettos… de cathédrales en Comitern… Tralala !
Je vous l'affirme ! (Des vents ? Des phrases ? Despauvres paroles ?) Boyaux vous-mêmes. Piteux ! Silence ! N'émettez plus ! Émissions craintives ! Vents du bas ! Je vais vous les conclure moi les Mages !
Vous la remettre la clef des mystères. Vous en ferez ce que vous voudrez !
« Pulsate et aperietur vobis ! »
(Frappez et il vous sera ouvert ! Évangile St. Luc)
Je peux pas me compromettre davantage. Je vais tout vous révéler ! Ce que l'on ne vous dit jamais, ne raconte jamais aux enfants. Ce n'est pas depuis hier, c'est bien depuis Charlemagne que tout va si mal en Europe.
Depuis Charlemagne, nos carottes sont cuites, recuites, revenues, remises à bouillir au sang goye ! Depuis son fils, le Débonnaire, le débile, l'enviandé fameux, l'illuminé fait chrétien de foi la plus vive, celui des confessions publiques, le comprimé de contrition, de pieuserie, l'empereur bouleversé de remords, l'empereur mortifié, confesseur de toutes ses indignités sur tous les parvis de l'empire.
Un cadeau ! L'empereur dévotieux époux, servi ou éperdu de remords mystiques, fondant au possible… servi mollet, servi poreux, servi friable, servi cocu à sa terrible garce, Judith de Bavière, l'épouse du démembrement, la fauve judaïque !
Louis le Débonnaire le pâlot ! Louis le Pénitent ! Louis l'Aryen ! tout du confesseux !
Et puis toute sa lignée des envoûtés pusillanimes, toute la kyrielle carolingienne, de plus en plus dévotieux, pâlots, superpénitents, mortifiés, humiliophiles… épongeogènes… torchecuteux…
Charles le Chauve… Louis le Bègue… les rejetons de plus en plus gris… les rejetons verdâtres… de plus en plus confesseux… désastreux, délirants d'indignité, de torts, de fictions mortifiantes, de pénitences… de cilices, de manque de couilles… de couillettes… de plus en plus éplorés, déplorés, contrits, capitulants, scrupuleusement angoissés, trifouillants insatiables,inconsolables, de croquemitaineries ratichonnes, branleux excommuniants, mea culpins infinis de plus en plus chevrotants, affolés, de plus en plus éperdus, de plus en plus chauves, de plus en plus bègues.
Ah ! Nous avons été soignés ! fignolés…
Ah ! Nous fûmes joyeusement lancés dès les premiers siècles dans la belle carrière enculière des abnégations ! soumissions ! repliements ! holocaustes ! détachements ! docilités sublimes ! châtiments !châtiments ! abélardises ! joies sacrificielles ! massacres expiatoires !
Ah ! Nous avons été gâtés dès nos origines pour la pénitence ! la rage des pénitences ! Masochistes attendris pour tous aveux chrétiens ! Nous avons de qui tenir !
La joue ! deux joues ! Trente-six joues ! Tout le buffet ! Trente-six mille chandelles !
Vessies ! Vessies ! Toutes les étoiles du ciel ne sont que les lanternes du Temple de notre connerie. La foi ! La foi !
Quelle foi de la merde ! Nous avons de qui tenir pour l'hébétude crédule ! Quel dressage ! La frénésie de souffrir !
Les descendants carolingiens n'ont su tout de suite comment dégénérer, crouler, renoncer davantage, s'émasculer encore un peu mieux, ramper encore un peu plus grotesquement sous tous les bénitiers du Pape, se rendre encore un peu plus dégueulasses par nouvelles renonciations, macérations bêlantes.
Le plus éhonté brelan de christianeux enfifrés qui soit jamais tombé sous la férule des youtres. Quand je dis les youtres comprenez les évêques aussi, c'est pareil. Tout un empire à genoux !
Quel beurre ! Suppliant ! Implorant les absolutions ! Tout un empire de confesseux ! De l'empereur au dernier des serfs !
Tous à genoux !
Ah ! la savoureuse pharamineuse chariboterie !
Toute la horde aryenne en esclavage volontaire !
Le Masochisme fanatique pour tous !
La religion christianique ? La judéo-talmudo-communiste ? Un gang !
Les Apôtres ? TousJuifs ! Tous gangsters !
Le premier rang ? L'Église !
La première racket ? Le premier commissariat du peuple ? L'Église !
Pierre ? Un Al Capone du Cantique ! Un Trotzky pour moujiks romains !
L'Évangile ? Un code de racket…
L'Église catholique ? Un arnaquage aux bonnes paroles consolantes, la plus splendide des rackets qui ait jamais été montée en n'importe quelle époque pour l'embéroutage des Aryens.
On ne fera jamais mieux ! Depuis Sésostris c'est le grand jeu ! C'est le nougat miraculeux ! Toujours les Goyes qui sont marrons ! À tous les coups ! à tous les détours !
Des Catacombes en Tartarie ! De Babylone chez Citroën ! De Catalogne à Chicago ! Immanquable !
Le Goye chocolat partout ! À genoux ! La nouvelle variété du genre, le stratagème "communiste", c'est de "l'à genoux" aussi pour tout le monde, bien sûr, forcément, mais ça vaudra jamais l'autre, l'évangélique !
Ça sera jamais si fameux ! Si assuré, si peinard ! Y a plein de "paillons" dans le communisme, des statistiques qui empoisonnent, des mirages de jambonneaux qu'il faut toujours dissiper.
Ça sera jamais aussi splendide comme fonctionnement, comme rapport.
L'autre, la "Légende catholique" ça se déroulait dans les nuages, jamais de contrôle ! jamais de risques ! Aucun frais !
Tout en rêves ! Ce qui tue le juif dans le communisme, c'est que l'incrédule peut y aller voir, se rendre compte, en Russie, et revenir dire que c'est pas vrai !... Que rien du Paradis n'existe… Que les jambons tombent pas du ciel. Ça fait mal.
Christianisme, foi liquéfiante pour éternels agenouillés transis, prostrés terrifiés, angoisseux empaffés, voués, offerts, évertués à toutes les priaperies juives, à toutes les foutriqueries judaïques, goulus de tous les foutres, de toutes les ruées d'Abyssins, les miches toujours en bataille, toujours en souffrance !
Résignation ! La religion des Soumis ! La croyance faite pot !
Pénitence ! Aveux ! Tendres aveux ! Confidences !
Re-Pénitence ! Macérations ! Abnégations !
Plus d'épreuves ! Sacrées ! Tortures ! Bénies ! Adoration des chères souffrances ! Pleurnichons ! Bas les frocs !
Encore plus de contrition ! Déchirements ! Désolation ! Méticulisation de l'Indignité souffreteuse ! Purgatoire !
Purgations ! Vaticinations confessières ! Douleurs ! Douleurs ! Plus de douleurs ! Flagellations ! Crucifix !
Encore ! Remords éternels ! Larmes ! Larmes ! Deuils ! Mortifications laminantes ! Agoniques ! Merci ! Amen ! Amen !
Quelle mirifique aubaine pour le juif que cette planète surpeuplée d'esclaves éperdument contrits, auto-analyseurs introspecteurs farfouilleur submergés exorbités pour des fantômes en pines de mouches à longueur de cauchemar terrestre.
Quelle manne mille fois plus juteuse,délectable, profitable, régalante, que les pauvres sucs candis du Désert d'Horeb !
Cette mirobolante incroyable pullulation des serfs aryens fanatiques en ratiocinages dénigrants ! tout étouffés ! abrutis de haines mutuelles, fébrilement, farouchement ragoteux, scrupuleux de toutes conneries décervelantes, toujours passionnément fiers de se faire mieux englander, saloper toujours davantage par leurs satrapes juifs, plus cruellement si possible, sefaire éventrer de bas en haut pour la jubilance, l'irradiance du Moloch crépu.
Jamais assez ! Jamais trop ! Voilà le miracle ! Peut-il exiger davantage de la Terre et du Ciel le juif ? Dieu-Juif partout !
Les Aryens sont immédiatement mordus pour tout ce qui peut les avilir, les asservir davantage, les dégueulasser un peu plus. Ils se feront mettre en charpies pour n'importe quel youtre, encore un peu plus crapule, plus charlatan que les autres…
Pierre, Marx, Trotzky, Roosevelt, etc…
Constipés en tout, bouchés de partout les Aryens, sauf pour la ravagière bite du juif, toujours admirablement aspirée, sucée, folichonnée, réchauffée, régalée, réjouite adorablement. C'est plus de la rage, c'est de la communion du fondement.
La connivence judéo-chrétienne, prélude à la grande curée judéo-maçonnique a toute son origine dans le traité de Verdun (843).
Le Traité de Dépiautage, de Démembrement. L'Empire carolingien tronçonné. Sabotage de l'Empire, découpage de l'Empire en trois lopins idiots : France-Allemagne-Italie.
Sabotage de l'Europe. Fagotage de l'Europe en cinquante frontières absurdes.
Création de l'Europe impossible.
Création de l'éternel conflit franco-germanique, de l'éternelle boucherie franco-gemanique, de l'inépuisable tuerie d'Aryens français contre Aryens allemands.
L'Apocalypse en famille, pour la plus grande prospérité, gloire, dévergonderie, rigolade, bacchanale d'Israël.