Le Juif hebdomadaire Candide, dans son éditorial du 29 septembre, jour même où la paix ne tient plus qu'à un fil, prenant toutes ses précautions, nous avertit que :
« On n'a jamais le droit d'oublier les leçons de l'histoire. La permanence des caractères d'un peuple est un des phénomènes les plus extraordinaires. L'Allemagne n'a jamais eu de respect pour ses obligations antérieures. »
Candide est beaucoup trop con pour être dangereux, il a même quelque chose en plus d'être con, il raffole des astuces.
Qu'à cela ne tienne ! Cette persistance des "caractères acquis" doit être aussi remarquable chez les Juifs que chez les Allemands. Pourquoi pas ? Allons-y pour les Leçons de l'Histoire ! Elles doivent être valables pour tout le monde.
Les nazis n'ont pas inventé l'antisémitisme. Les témoignages et non des moindres, abondent à travers les siècles, de Diodore à nos jours, quant à la fameuse persistance des caractères juifs acquis, on n'a que l'embarras du choix.
Antiquité
DIODORE (30 av. J.C. – 20 apr. J.C.) :
« Les amis du roi Antiochus (175 av. J.C. – 163) lui avaient conseillé d'expulser les Juifs parce que ceux-ci ne voulaient pas se mêler aux autres et considéraient chacun comme leur ennemi. »
SÉNÉQUE (4 av. J.C. – 65 apr. J.C.) :
« Les coutumes de ce maudit peuple sont demeurées si solides qu'il s'est répandu à travers tous les pays ; les vaincus ont imposé leurs lois aux vainqueurs. »
TACITE (55 – 120) :
« La plupart des auteurs s'accordent à reconnaître qu'à la suite d'une dégoûtante maladie qui s'était propagée en Égypte, le roi Bocchoris avait reçu de son oracle l'avis de purifier son royaume en chassant les Juifs, car c'est une race haïe des dieux et des hommes.
Afin de garder le peuple sous sa coupe, Moïse lui donna des lois nouvelles ; tout ce qui est sacré pour nous est méprisable aux yeux des Juifs, et tout ce qui nous fait horreur leur est permis. »
MAHOMET (571 – 632) :
« Je ne m'explique pas qu'on n'ait pas depuis longtemps chassé ces bêtes malfaisantes qui respirent la mort.
Est-ce qu'on ne tuerait pas immédiatement des bêtes qui dévoreraient les hommes, même si elles avaient forme humaine ?
Que sont les Juifs sinon des dévorateurs d'hommes ? »
SAINT-JUSTIN (166) :
« Les Juifs étaient derrière toutes les persécutions que subissaient les Chrétiens. Ils erraient par tout le pays, propageant la haine des Chrétiens et minant leur foi. »
TERTULLIEN (160 – 230) :
« Les Juifs constituent le champ d'ensemencement de toute action anti-chrétienne. »
Moyen-Âge
GONTRAN, Roi de France (525 – 593) : En 585, le roi Gontran vint à Orléans ; tout le monde l'acclamait, même les Juifs, et eux criaient plus fort que tous les autres. Le roi dit :
« Malheur à cette nation juive méchante et perfide, ne vivant que de fourberies. Ils me prodiguent aujourd'hui de bruyantes acclamations, c'est qu'ils veulent obtenir de moi que j'ordonne de relever, aux frais publics, leur synagogue que les chrétiens ont détruite ; mais je ne le ferai pas : Dieu le défend. »
L'abbé TRITHEME de Wurzbourg (1462 – 1516) :
« Il est hors de doute qu'une aversion croissante est en train de se faire jour contre les usuriers juifs, tant parmi les grands que parmi les humbles.
Je suis partisan de mesures légales qui empêcheraient l'exploitation du peuple par les usuriers juifs.
Va-t-on laisser des étrangers envahisseurs régner sur nous ?
Et régner sur nous, non en raison d'une force ou d'un courage supérieurs, d'une vertu plus haute, mais seulement au moyen de leur vil argent ?
Ces gens vont-ils s'engraisser impunément de la sueur du paysan et de l'artisan ? »
LUTHER (1483 – 1546) :
« Comme les Juifs aiment le Livre d'Esther, qui correspond si bien à leur appétit de vengeance, à leurs espoirs meurtriers !
Le soleil n'a jamais brillé sur un peuple plus assoiffé de sang, plus vindicatif que celui-ci, qui se prend pour le peuple élu afin d'avoir licence d'assassiner et d'étrangler les Gentils.
Il n'y pas de créatures, sous le soleil, plus avides qu'ils sont, ont été, et seront – il n'est que de les voir pratiquer leur maudite usure. – Ils se flattent de l'espoir que lorsque le messie viendra, il rassemblera tout l'or et tout l'argent du monde et le leur partagera.
Je suis d'avis qu'on brûle leurs synagogues, ce qui ne pourra pas brûler qu'on le couvre de terre afin qu'on n'en puisse plus rien voir…
On devrait détruire tous leurs livres de prières, tous les exemplaires de leur Talmud où ils apprennent tant d'impiétés, tant de mensonges, de malédictions et de blasphèmes…
Aux jeunes Juifs et aux jeunes Juives il faudrait donner le pic et la houe, la quenouille et le fuseau afin qu'ils gagnent leur pain à la sueur de leur nez… »
ÉRASME (1487) :
« Que de vols, quelle oppression subissent les pauvres, victimes des Juifs !
Des souffrances telles, qu'ils ne sauraient souffrir plus longtemps – Dieu les prennent en pitié !
Les usuriers juifs sont profondément implantés jusque dans les plus petits villages et prêtent-ils cinq gulders, qu'ils exigent un reçu de six fois davantage.
Ils réclament intérêts sur intérêts et par là-dessus des intérêts encore – de sorte que le pauvre malheureux perd tout ce qui lui appartient. »
Jusqu'à nos jours
Le Pape CLÉMENT VIII (1605) :
« Le monde entier souffre de l'usure des Juifs, de leurs monopoles, de leurs tromperies. Ils ont réduit nombre d'infortunés à la misère, surtout des fermiers, des artisans, et les plus besogneux des pauvres. »
VOLTAIRE (1694 – 1778) :
« Les Juifs ne sont qu'un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s'enrichissent. »
MARIE-THÉRÈSE, impératrice d'Autriche (1777) :
« Je ne connais peste plus nuisible à l'État que cette nation qui réduit les gens à la pauvreté par la fraude, l'usure, les contrats financiers, et qui se livre à toutes sortes de mauvaises pratiques qu'un honnête homme abominerait. »
Benjamin FRANKLIN (1787). Débats préliminaires de la Constitution américaine :
« Dans tous les pays où les Juifs se sont installés en nombre, ils ont abaissé le niveau moral, discrédité l'intégrité commerciale, ils ont fait bande à part sans s'assimiler jamais aux autres citoyens.
Ils ont tourné la religion chrétienne en ridicule et tenté de la miner… Ils ont bâti un État dans l'État et quand on leur a opposé de la résistance, ils ont essayé d'étrangler financièrement le pays…
Si vous ne les excluez pas des Etats-Unis dans cette constitution, en moins de deux-cents ans ils y fourmilleront en quantités si considérables qu'ils domineront et dévoreront notre patrie et changeront la forme du gouvernement…
Si vous n'interdisez pas aux Juifs l'accès de ce pays, en moins de deux-cents ans, vos descendants travailleront la terre pour pourvoir à la subsistance d'intrus qui resteront à se frotter les mains derrière leurs comptoirs.
Je vous avertis, Messieurs, si vous n'excluez pas pour toujours les Juifs de notre communauté, nos enfants vous maudiront dans vos tombes…
Les Juifs, Messieurs, sont des asiates… Ils ne seront jamais autre chose… »
NAPOLÉON 1er (1808), écrivant à son frère Jérôme :
« J'ai décidé de faire quelquechose pour les Juifs ; mais je n'en veux pas voir entrer davantage dans mon royaume ; vraiment j'ai tout fait pour prouver mon mépris envers cette nation, la plus vile de l'univers. »
Mr NEWDIGATE à la Chambre des Communes, le 22 mars 1858 :
« Je ne crois pas qu'un Juif puisse devenir un bon membre de cette assemblée, car le Juif est un strict observateur du Talmud et les tendances du Talmud ont, je me fais fort de le démontrer, un caractère amoral, anti-social, et anti-national…
Les Juifs ont été soit directement, soit indirectement, fautifs de tous les troubles et de toutes les révolutions. Ils ont causé la ruine et la misère de leurs contemporains par les moyens les plus abjects et les plus tortueux. »
Le général GRANT (1861) : Durant la guerre civile américaine, la deuxième ordonnance du général Grant est ainsi conçue :
« Les Juifs violent tous les règlements commerciaux édictés par la Trésorerie ; ils enfreignent également les ordres promulgués, aussi sont-ils expulsés du territoire qu'ils devront avoir évacué dans les vingt-quatre heures qui suivront la promulgation de cette ordonnance. »
Paul KRUGER, Président de la République du Transvaal, prenant la parole sur la place du marché à Johannesburg, en février 1899 :
« S'il était possible de mettre carrément les Juifs à la porte de ce pays sans risquer la guerre avec la Grande-Bretagne, le problème de la paix perpétuelle serait résolu en Afrique du Sud. »
Enfin, de Léon BLUM, lui-même (Avocat conseil de Mr Bader) :
« Le goût de vivre, le besoin de s'accroître, de dominer ; les forces juives, en un mot. »
« Mis au service du socialisme international, le capital juif ferait assurément de grandeschoses. »
« …Mais il est encore essentiel d'observer que si les Juifs interviennent dans la lutte sociale… ce sera pour obéir à la loi naturelle de leur race. »