LOUIS–FERDINAND CÉLINE

L'ÉCOLE DES CADAVRES

Visitant la maison Ipatiev quelques jours après l'affreuse tragédie, le précepteur du tsarévitch, M. Pierre Gilliard,découvrait dans l'embrasure d'une fenêtre « le signe préféré de la tsarine (la croix gammée) qu'elle faisait mettre partout comme porte-bonheur ».

Elle l'avait dessiné au crayon en l'accompagnant de la date de son arrivée : 17 avril 1918.

Le même signe se retrouvait sur le papier du mur à la hauteur d'un lit.

le Temps, 20 juillet 1938

À

JULIEN

"L'APOSTAT"

1938, Éditions Denoël, 179 p.

Céline démissionne du dispensaire de Clichy et, en 1938, compose un nouveau pamphlet pacifiste et antisémite, L'École Des Cadavres.

" Une verve emportée et un ton magnifique qui décourage les imitateurs, des pages bourrées de substance, éclatantes et lucides, assénées, virulentes, définitives. "

" L'École des Cadavres, c'était l'application à la France de la théorie du juif. Si jamais il y eu livre prophétique, ce fut bien celui là. Tout y est dit, tout y est nommé, prévu, écrit, annoncé dans les termes les plus clairs."

" C'était le grand cri d'alarme, le ‟ hola ˮ terrible qui aurait du arrêter tous les français sur la pente de la guerre. Il ne fut entendu que par les juifs. Et, vivement, le gouvernement fit une loi pour la protection des juifs. "

" Et l'on (…) migeota à Céline (…) un procès en correctionnelle. Et comme de bien entendu, [il fut] condamné. Bagatelles et L'École étaient interdits." (Denoël, le cahier jaune, 1 nov. 41)

L'écrivain est unanimement rejeté par ceux qui avaient encensé le Voyage. En mai 1939, le décret Marchandeau oblige l'éditeur à retirer de la vente ces deux pamphlets. (wiki)

" Quelques mois plus tard, la guerre éclatait... "

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La Franc-Maçonnerie en plein effort, à la veille de 89.

« Sous Louis XVI, l'intimité, la camaraderie qui régnaient sur les navires de guerre entre les chefs et leurs subordonnés conduisaient ces derniers à discuter les ordres qu'ils recevaient… Pour la manœuvre du navire l'inférieur donnait son avis, discutait, et les chefs, irrités, préféraient souvent céder plutôt que de se faire des ennemis.

« Ce fut précisément le relâchement dans la discipline qui coûta à la France la possibilité d'affermir l'emprise qu'elle avait mise sur les Indes. En 1782-83 la flotte française, numériquement supérieure et commandée par le plus habile des amiraux qu'elle ait jamais eu, Suffren, livra quatre batailles à l'escadre anglaise dans la mer des Indes et chacune de ces batailles resta indécise parce que les capitaines n'obéirent pas aux ordres de Suffren, n'agirent pas comme des unités constituantes de l'Escadre, mais suivant leur opinion au sujet de ce qu'il y avait à faire.

« J'ai le cœur transpercé – écrivait Suffren plus tard – au souvenir de cette défection générale. Il est terrible de penser que j'aurais pu détruire quatre fois l'escadre anglaise et qu'elle existe toujours.

« Une seule de ces batailles eût été décisive et les communications des armées anglaises et des entreprises commerciales de l'Inde dont elles dépendaient eussent été entièrement coupées. Le manque de discipline coûta un empire à la France. »

Majors Eliot et Dupuy : Si la guerre éclatait…

Maçonnerie 38 en plein effort.

À la veille du Grand Triomphe Mondial Juif (Le super 89).

« Plus d'esprit de capitulation ! Le sort des Juifs du monde entier dépend de l'issue decette lutte contre le fascisme. Nul ne peut plus nier que les Juifs sont devenus l'enjeu entre le fascisme et l'anti-fascisme. »

Bernard Lipschitz-Lecache : le Droit de Vivre. Lipschitz lui au moins ne trompe personne ! L'Humanité, le Populaire, le Jour non plus ! Mais le P.S.F., ghetto du Colonel de la Rocque ?

Voilà de l'excellent travail des Loges ! dans la meilleure tradition maçonnique : Simulacres ! Redressements pourrisseurs ! États-Généraux ! Connivences ! Les Amis des Amis de tous, etc.

« Je fais appel à tous les Israélites, et Dieu sait si nous en avons de très nombreux et de très chers dans nos rangs. » La Rocque : discours de Lyon.

État-Major du colonel La Rocque-Ghetto :

Carvalo (Juif) secrétaire particulier de M. de la Rocque, placé là comme par hasard. F :· Pfeiffer : ancien secrétaire du Parti Radical, l'œil de la Franc-Maçonnerie. Silbert (Juif) délégué à la presse, de son vrai nom Silberberg. Wormser (Juif) conseiller aux comptes (achat du Petit Journal).

Barrachin, directeur politique, apparenté à la famille des Juifs Lazare-Weiller. Robbe-Cohen, chef des parlementaires des P.S.F. dont la mère est Juive (famille Cohen). Devaud, député du P.S.F., marié à une Juive (famille Gougenheim).

Thibaut, fils du violoniste Jacques Thibaut, dont la mère était juive (famille Goldsmith). Lange (Juif) rédacteur au Petit Journal. Treich (Juif) rédacteur au Petit Journal. Schwob dit d'Héricourt (Juif) commanditaire au P.J. (3 000 actions) ex V.N. du 16 ème arrondissement, Paris.

Sternberg dit de Armella (Juif) commanditaire au P.J. (1 100 actions) ex V.N. du 16 ème arrondissement, Paris. Javal (Juif) commanditaire au P.J. avec 1 500 actions. Historiographe du Colonel Ghetto : Henri Malherbe, de son véritable nom Grünwald.

Il est tout naturel qu'un jour prochain, le colonel Ghetto devienne, la guerre aidant, directeur de l'Humanité ; prophétie facile. Le colonel Ghetto est aux gages, au service de la même racket israélite, que Messieurs Blum, Cachin, Thorez, Verdier, Lebrun. Aucune différence essentielle. Autant de chefs de rayons de la même grande entreprise maçonnique. Rien ne les sépare.

Moi je m'en fous énormément qu'on dise Ferdinand il est fol, il sait plus, il débloque la vache, il a bu, son bagout vraiment nous écœure, il a plus un mot de raisonnable ! Quand vous prendrez sur l'avant-scène les joyeuses bombonnes d'ypérite, d'arsine, qu'on s'apprête à vous déverser, vous me direz si c'est raison ? Si le ciel vraiment vous estime àvotre judicieuse valeur ? Quand on viendra vous dépecer, vous épurer individuellement par dissections à vif des membres…

Aryens, il faut toujours vous dire à chaque Juif que vous rencontrez que s'il était à votre place il serait lui nazi 100 pour 100. Il vous trouve en son intime stupide à dévorer du foin de n'avoir encore rien compris. Et plus vous lui donnerez des preuves de bienveillance, d'amitié,et plus il se méfiera, forcément…

À chaque seconde, il se demande si ça va durer toujours… Il aime pas beaucoup vous regarder en face. Plutôt il vous bigle de travers, à la dérobée, comme on observe les cocus, de biais, vaquer à leurs petites affaires, encore pas inquiets du tout, encore très loin des orages.