Les soviets se seraient écroulés depuis belle lurette sans le soutien constant, la tutelle affectueuse de toutes les banques, de toutes les industries, de toutes les propagandes juives, maçonniques de monde entier.
Cet échafaudage de chiourmes en délire, ce catafalque de terreur n'aurait pas tenu six mois sans la fervente complicité de toute la youtrerie du globe.
Elle a tout couvert, tout musiqué, tout fait absoudre. Elle a propagé l'espoir, le mensonge, la menace, le chantage avec tant d'astuce, que même les experts dans la chose en sont restés abasourdis.
Le comble des culots propagandistes ! La plus exorbitante entreprise de bobarderie crapuleuse jamais fricotée par les Youtres dans le cours des siècles, où pourtant…
La colossale charognerie soviétique, gluante de larves, ronflante de mouches, sous projecteurs juifs : Triomphe éblouissant ! La transmutation de toutes les valeurs par dévergondé baratin, sans limite. Tout en œuvre pour que – 10 se lise + 1000, que les masses s'y prennent dur comme fer, hurlent aux pullulations divines et crèvent en mirage !
Hors le fatras verbiologique, l'époustouflage vrombissant, les Soviets n'ont été conçus, engendrés, maintenus, propagés, que pour la progression glorieuse de la plus grande juiverie, en exécution du plan de guerre talmudique mondial dressé, modernisé, par le général Marx. (Même guerre judaïque en Espagne, en Chine.)
Un Soviet est une synagogue avant tout ! perfectionnée ! modernisée ! motorisée ! Talmud 38 ! Chaque Soviet représente un nouveau bastion. Chaque comitern une citadelle de l'Empire juif mondial.
Une expansion soviétique : Autant de glomécules sémites extraordinairement corrosifs, nécrosants, infusés à chaud, inclus en pleine viande aryenne. La contamination marxiste de la Russie s'est effectuée très brutalement par injections simultanées, massives, paralysantes d'or judéo-américain. (Provenance de New-York, Amsterdam, Londres).
Les Soviets ont été implantés en Russie par les banques juives de New-York, Amsterdam,Londres (Lœb, Schiff, Sassoon, Warburg).
Les arrière-loges, les Synagogues, les Luthériens, les États-Majors francs-maçons (allemands, français, anglais, russes) des deux côtés de la tuerie ont admirablement collaboré à l'avènement des Soviets par leurs silences… leurs diversions appropriées… leurs trahisons… tractations vaseuses…
Libéralismes opportuns… toutes les musiques… Autant de comiterns autant de virulentes synagogues…
Tout commissaire du peuple n'est qu'un commissaire de la haute police juive, un garde-chiourme d'Aryens. Gardes-chiourmes verbeux, rationalistes, prometteurs, démocratiques, etc…
Staline, asiate aux ordres, bourreau spectaculaire. La cuisine du Kremlin est une cuisine juive. C'est Kaganovitch, beau-papa, qui l'épice.
Les Soviets ne durent, ne se maintiennent en tyrannie que grâce aux appuis éminents, aux complicités quotidiennes des Banques juives de New-York et de Londres, à la parfaite compréhension des gouvernements démocrates, à la coopération très indispensable de "l'Intelligence", surtout en Orient.
Les Soviets livrés à eux-mêmes, flancheraient à la première famine. Et tout de suite la grande vengeance ! l'épuration monstre ! le signal du plus formidable pogrom encore jamais vu nulle part ! Un véritable séisme !
Tibère en existerait plus, à côté, avec ses puériles embraseries. C'est vraiment presque impossible de se faire une petite idée, de concevoir même faiblement le degré de haine recuite où sont parvenues les masses russes, vis-à-vis des Juifs.
Ressentiment très explicable. Les Juifs ont assassiné plus de trente millions d'Aryens russes depuis qu'ils sont au pouvoir.
La furie antisémite des Russes ne demande que la plus furtive occasion pour se donner libre cours, pour étonner le monde.
Que les Soviets, demain culbutent, et tout de suite, en l'espace de quelques heures, c'est l'égorgement de tous les Juifs, d'un bout à l'autre de la Russie.
On en retrouvera peut-être pas un seul pour nous raconter les détails.
Ah ! Ne jamais plus entendre les admirables paroles juives ! Trêve de rigolade !
On se doute bien que les grands Juifs sont parfaitement au courant. Qu'ils ne nous ont pas attendus. Qu'ils sont à pied d'œuvre. En pleine connaissance de pétoche, avec des raisons très sérieuses pour se méfier hallucinamment des imprévus russes.
Leurs inquiétudes se conçoivent. Ils font des vœux tous, unanimes, riches et pauvres, aux quatre points cardinaux, pour que les Soviets s'écroulent pas.
C'est leur terreur jour et nuit. Ils font plus que leur possible pour que rien ne change en Russie. Et ils peuvent énormément.
De tels gigantesques pogroms ! Après les horreurs hitlériennes ! Ça ferait beaucoup pour une époque !... Ça ferait même infiniment trop ! Et puis des rébellions d'esclaves c'est toujours prêt à s'étendre, à se propager…
La Grande Juiverie religieuse, bancaire, policière, soutient le pouvoir soviétique comme elle soutiendrait un couperet très haut, loin au-dessus de sa tête…
« Qu'il ne retombe ! » Entre nous, sûrement qu'elle regrette la Grande juiverie d'avoir jamais foutriqué un pareil imbécile bastringue, tout biscornu d'emmerdements à n'en plus finir !
Elle voudrait bien s'en dépêtrer. Mais comment ? Elle ne peut pas ! Elle est engagée à fond, jusqu'au cou dans les Soviets, jusqu'au trognon, et à la vie et à la mort.