Faut bien qu'on en reparle…
C'est une rengaine, mais ça ne fait rien…
La gravité de la chose…
Qui nous trame, trafique, ourdit, provoque toutes nos révolutions ? Tous nos désastres ? Toutes nos guerres ? Tous nos massacres ? Notre perpétuelle répugnante débâclerie ?
La Juiverie ! Messieurs, Mesdames ! Et surtout la juiverie anglaise !
Le condensé virulicide des plus pernicieux vibrions de toute l'espèce youtre, les mieux préparés, par passages, mijoteries innombrables, séculaires à nous fermenter davantage, nous liquéfier, nous puruler, nous corrompre fantastiquement, et puis nous repiquer encore, requinquer en transes belliqueuses, aux tétanismes furioso-démagogiques, aux obscénités suicidaires, à la merde 93, et puis nous sonner de nouveau, nous affaler dans les chiots du Suffrage Universel, tous saignants, par regardables, perdus, léthargiques.
Et ça continue la musique ! et ça finira jamais ! les accès, les transes, les gigoteries épileptiques ! Tant que les judéo-britons l'auront si facile de nous mettre en boîte, y a pas de raison que ça se termine.
Notre destin est Catastrophe. Marlène Dietrich ne pouvait rien, qu'elle prétendait, contre l'amour. Elle avait pas de résistance.
Nous non plus, on en a pas contre les vacheries de "l'Intelligence". On est de même, on se refait pas. On est des "voués". Elle nous mine, elle nous ravage, elle nous saccage, elle nous éreinte, elle nous pourrit de mille manières, comme elle veut. Jamais un mot dissonant.
L'engeance vibrione juive anglaise peut effectuer sur nos viandes les plus folles proliférations, les plus gangreneuses, les plus nécrosantes, les plus déconcertantes de délabreries très horribles.
Jamais une remarque. Nous nous prêtons d'enthousiasme, adorablement, aux plus guignolesques, abracadabrantes charogneries (14 et la suite), du moment qu'elles sont inspirées, ordonnées par "l'Intelligence".
Nous raffolons de nos vautours, de nos diaboliques. C'est notre masochisme à nous, national, notre vice "étranger", notre exotisme au nord.
Qu'ils nous détruisent ! qu'ils nous dépiautent ! qu'ils nous vident ! qu'ils nous retournent le blanc des yeux. On aime ça. On aime ça, on leur appartient corps et âmes !
On est leurs cobayes, leurs folles viandes d'essai. Nous les parcs sociologiques des pires comploteries maçonniques, de toutes les vivisectionneries expérimentales, de toutes les guerriologies furieuses.
Rien ne nous rebute. Rien ne nous semble excessif. Jamais de refus. Jamais un mot disparate. La vraie devise des Français 1938 :
« Tout pour les Youtres d'Angleterre ! Tout pour Ben John Bull ! »
La Cité, "l'Intelligence", la Cour juive anglaise sont parfaitement responsables, depuis Cromwell, de toutes nos faillites, de toutes nos débâcles, en tous genres : continentales, coloniales, sociales, monétaires, spirituelles.
La Grande Maçonnerie anglaise et la nôtre dans l'obédience, nous maintiennent impeccablement dans les moyennes putréfactions.
La fantastique, interminable prospérité judéo-britannique n'existe, ne dure, ne peut durer sans éclipses, qu'en fonction de notre servitude, de notre ahurissement, de notre débilité, de notre endémique anarchie.
Une France toujours bien faisandée, politiquement bien grotesque, velléitaire, hâbleuse,cafouilleuse, toujours tout près de la faillite, budget jamais en équilibre, docile à tous les ordres bancaires, c'est-à-dire aux crochets de Londres, est une France extrêmement maniable, infiniment agréable aux Lords talmudiques de la Cité.
Jamais de résistance ! une véritable providence ! Selon l'heure, les circonstances, y a qu'à nous agiter un peu, nous attiser, nous filer encore quelques secousses, un peu de panique, nous tritouiller, nous raviver la pourriture, nous asperger, si c'est le moment, de quelques révulsifs scandales (Panama-Dreyfus-Stavisky).
Et ça repart de plus belle ! et ça refume ! ça refermente ! on est de plus en plus pourris ! C'est un plaisir ! Comme ça qu'elle nous entretient juste devant sa porte l'Angleterre, qu'elle nous possède à la fourche, un purin splendide ! plus ou moins croulant, juteux, gonflé, raplati, à son aise, toujours prêt à se faire envoyer lui fumer d'autres bénéfices, d'autres comptoirs britanniques un peu partout.
Ça va ! Ça va ! Ça ira !... Jamais ils l'ont eue si facile les business judéo-britons qu'avec nous sur le continent.
Toujours prêts à nous répandre dans toute les crevasses, dans toutes les horreurs qu'ils fricotent pour que ça repousse, que ça reprenne admirablement, que ça refleurisse magnifique dans leurs prodigieux jardins.
Même les Indes ça n'existe pas à côté de nous comme enthousiastes, comme frénétiques, comme dévotieux à la cause, à la gâterie des pires maquereaux de la Mort que le Monde a jamais connus.