À qui a profité je vous le demande un petit peu le Front populaire ? Aux Juifs strictementet aux maçons, (juifs synthétiques).
Les Aryens ont tout paumé. Bourgeois, ouvriers, paysans, petits commerçants, artistes, petits fonctionnaires : repassés.
C'était écrit ! Dandins ! Vous l'avez voulu ! Inventaires des joyeux gagnants : Les Trusts juifs, les Prix Uniques, les Banques juives, Florès ! trois, quatre, cinq dévaluations ! Quelle manne !
Les politiciens juifs ou enjuivés, les hobereaux du Syndicalisme, l'empereur démagogique juif Jouhaux, les petites satrapes de Cellules, toute l'obédience des Loges, les bourriques au train du complot et les Bistrots, ces Loges du Pauvres.
Toute la Racket du plus grand asservissement, du plus grand abrutissement, les barons de la Cocaïne (dont les rabbins de la Cocaïne), les acheteurs de biens, d'hypothèques (tous juifs), les marchands de canons, d'avions, (tous juifs ou enjuivés essentiellement), nos deux cents familles juives, nos deux mille familles juives internationales, nos grands Molochs affameurs, affairistes, mobilisateurs, nos Rothschild, nos Lazares, nos Cohens, nos Sterns, nos Pâtenotres, nos Baders, nos Dreyfus…
Jamais mieux passionnément obéis, régalés, comblés, adorés… enfin, de la même canaille youtre, les touristes, dits visiteurs providentiels ! releveurs du commerce, soi-disant ! en réalité très désastreuse engeance au pillage de nos derniers stocks, de nos dernières camelotes qu'il faudra racheter à prix d'or, chez eux, l'hiver venu.
La Gribouillerie parfaite. Ce pays, Royaume des Larves, des enflures saoules, par le bonneteau politique, le jeu des paniques, des grèves perlées ou formidables, les fripouilleries bancaires endémiques se trouve aux 9/10 ème ruiné.
Et puis encore le petit dixième qui reste, l'ultime subsistant, faudrait pas se faire d'illusions, il a aussi pris le train de même. Il est là-bas comme tout le reste de patrimoine dans les fourrières de la Cité, dans la cave des Juifs.
C'est gagné ! Trois centimes qu'ils nous ont laissés sur un franc ! et trois millions de morts !
De fil en aiguille, de démagogie en loisirs, l'industrie française est retombée en enfance. Si les juifs hésitent un tout petit peu à nous ruiner à zéro, comme ils pourraient très bien le faire du jour au lendemain, c'est pour pas vider la bête complètement, avant qu'elle arrive aux Arènes, à la suprême Corrida, qu'elle fournisse encore une course à peu près décente, que les spectateurs lointains en aient tout de même pour leur pognon.
Mais, enfin, ça va se terminer. Ça peut pas durer toujours, les sursis.
Qui donc a mis comme ça Rothschild sous les verrous ? pour spéculations ? C'est pas Schussnig, c'est pas Cachin, c'est pas Jouhaux, c'est pas Blum, c'est pas Chamberlain, c'est pas Staline, c'est Hitler.
Quel est le véritable ennemi du capitalisme ? C'est le fascisme. Le communisme est un truc de Juif, un moyen d'asservir le peuple plus vachement encore, absolument à l'œil.
Quel est le véritable ami du peuple ? Le Fascisme. Qui a le plus fait pour l'ouvrier ? L'U.R.S.S. ou Hitler ?
C'est Hitler.Y a qu'à regarder sans merde rouge plein les yeux. Qui a fait le plus pour le petit commerçant ? C'est pas Thorez, c'est Hitler ! Qui nous préserve de la Guerre ? C'est Hitler ! Les communistes (juifs ou enjuivés), ne pensent qu'à nous envoyer à la bute, à nous faire crever en Croisades.
Hitler est un bon éleveur de peuples, il est du côté de la Vie, il est soucieux de la vie des peuples, et même de la nôtre. C'est un Aryen. Les "chiens enragés de l'Europe" sont de ce côté du Rhin, Maurras !
Nos meneurs à nous, nos ministres ne sont que des larbins de juifs, Jean-Foutres maçons, envieux bousilleurs, arrivistes insensibles, qui se foutent de notre existence comme deleur première couche-culotte. Ils nous sacrifient tout naturellement, c'est leur fonction naturelle. Ils nous flattent et nous chient.
Les Juifs c'est leur souci principal, leur grande pensée, leur grand dada, l'Armée française démocratique.
Ils ont misé des sommes énormes, les Juifs, sur l'Armée française. Il faut que les choses se passent très correctement, que rien ne flanche, que ça mobilise dans les règles, sans anicroches, sans trafalgars, sans ombre au tableau, dans le plus fol enthousiasme, au moment le plus opportun, sur un "casus" amené aux pommes par le plus grand Kahal, quelque brûlot patriotiquement parfait, impeccable, irrésistible, que la croisade antinazie commence pas par des cafouillages, par des débandades ignobles, des guerres civiles dégueulasses.
Non. C'est impossible.
De l'Union nationale ! Because ! Un peu molo s'il vous plait, là-bas sur les bases…
Pour la propagande !... Minute ! Attention les brutalités… Virulents… toujours, certes… mais raisonnables… Pas l'impossible !...
Attention, les extravagants… les persécuteurs de "mous"… du tact ! Ça va ! Ça va !... le communisme compréhensif… Contingent… Beaucoup de mains tendues…
Ça fait plaisir… Ça ne coûte rien… Recommandé !
Plus du tout de confiscations ! de reprises intégrales, de jacobinisme 100 pour 100… On reparlera de tout ça plus tard… De trop nombreux camarades ont maintenant leur voiture… Faut pas froisser pour des vétilles des personnes de condition… des damnés qu'arrivent à se faire dans les 160 francs par jour… le moment est mal choisi… De la tactique s'il vous plaît…
De lacompréhension mutuelle… du savoir-faire… Rentrez ces terreurs ! Lénine, lui-même, savait biaiser, surseoir, planquer, attendre une meilleure époque. Les fous seuls vivent dans l'absolu. Contingences… Confiance… Tactique… Adresse… Confidences…
Les bourgeois ça leur file des transes, des aigreurs atroces d'entendre gueuler « Soviets partout ! Soviets tout de suite ! » Ils y tiennent à leurs papiers de rente. « Qu'ils s'en torchent ! mais qu'ils les gardent !Foutre ! Les jolis ! »
Voilà ce que répondent les maçons. Ne rien détruire, tout pourrir, c'est le dernier mot des Loges. Que tout s'écroule, mais sans fracas, sans émeute.
Les Français de droite comme de gauche, sont conservateurs avant tout, par-dessus tout, ils redoutent les changements sociaux pire que la peste, pire que la guerre. Ne plus retrouver leurs habitudes c'est la fin du monde, pour les Français authentiques, de droite ou de gauche.
Le peuple pour les habitudes il est encore pire que les plus naphtalants bourgeois. Une fois l'ouragan passé il se précipite sur les décombres, le Peuple, il sauve tout ce qu'on peut sauver, il ramasse tout, il reprend tout, les pires vacheries, les pires impostures, les pires fariboles, les pires préjugés, toutes les morales les plus crasseuses, il va aux nues que de sottises, il repompe tout ça, il rafistole, il adopte.
C'est son sentiment.
Pas affranchi pour deux ronds. S'il fait des révolutions, le peuple, c'est pas pour se libérer, c'est pour réclamer des Tyrannies plus solides. S'il y a une chose qu'il déteste le peuple, c'est la Liberté. Il l'a en horreur, il peut pas la voir.
Le Peuple c'est un vrai Musée de toutes les conneries des Âges, il avale tout, il admire tout, il conserve tout, il défend tout, il comprend rien.