Le petit chat mutin, lutin, tout bondissant devant la porte, s'y reconnaît bien mieux que nous dans les dix mille secrets du monde.
Nous sommes devenus les plus stupides, les plus emmerdants de tous les animaux créés.
Pesanteur matérialiste, ankylose dogmatique pontifiante à fins utilitaires.
Tout nous condamne. Nous ne jouons plus avec rien, nous utilisons tout pour plus vite tout détruire.
Qu'offrez-vous ? Que promettez-vous ?
Juifs réponds-nous !
Je vous offre, cul-bas, des autos ! des radios ! du plein la fraise ! plein la cravate ! plein les mires ! plein les miches ! plein les ouïes ! plein la mitrailleuse ! plein la jalousie ! plein la sépulture ! Vinasse, Borniol, et Circenses.
Ce sont les maçons aux ordres du juif Ximenès qui ont fait guillotiner Marie-Antoinette et Louis XVI.
La plus fantastique calomnie maçonnique jamais déclenchée par Israël et menée tambour battant, triomphalement, jusqu'à la lunette de Samson, Juif.
Monsieur Veto avait promis ! Madame Veto avait promis ! Vous avez promis, maçons de la Loge 38, bien davantage !
Depuis Veto vous n'avez pas arrêté de promettre, vous avez exalté, fanatisé, enragé la meute de haines égalisatrices, de passions à bâfrer tout et tout de suite.
Le tangible avant tout ! Toute la matière ! D'abord le Palpable ! Tout ce qui peut s'avaler, s'ingurgiter, s'approprier, s'accaparer, se boyauter.
Vous l'avez mise en fringale matérialiste irrésistible votre meute. Apôtres du mieux-vivre, la meute va vous bouffer, vous d'abord. Vous êtes au bout de votre rouleau des promesses.
Vous avez déjà donné tout ce qui vous appartient pas et puis en surplus tous les brouillards de la Lune. La masse exige du consistant. Elle en a marre de vos paroles !
150 années de paroles ! Vous n'y couperez pas. C'est vous le prochain "consistant". Vous-mêmes ! comptant ! Ah ! Si vous n'aviez jamais promis que des sacrifices, il serait peut-être encore possible de vous expliquer, de vous sauver.
Mais vous avez promis toutes les choses qui se bouffent, toutes les bonnes choses que l'on peut chier. Alors ? Tant pis pour vous ! Il ne reste plus rien de chiable dans votre boutique, que vous-mêmes.
Vous qui pendant 150 ans n'avez cessé de lyriser la mécanique, les droits du peuple, la muflerie, la matière, l'arrivisme et la merde, vous allez être servis merveilleusement ! merdeux !
Vous vous êtes promis aux chiots révolutionnaires vous-mêmes ! Exorbités, aberrants, pontifiants, cafouilleux cancre vous avez commis au départ l'erreur capitale, inexpiable, vous avez misé sur la tripe, vous avez adulé, exalté, flagorné, glorifié la tripe.
La tripe sera toujours à la honte de l'homme, vous n'en ferez jamais un émouvant Credo, un titre de noblesse. Jamais. La tripe c'est toujours une erreur de la porter au pavois, la tripe sera toujours seulement la plus ridicule de nos servitudes, la plus piteuse de nos ordures.
On s'en serait très bien passé. La nature a été vache. L'homme vous haïra toujours finalement, pour l'avoir mené par sa tripe, par son plus bas morceau.
L'Homme veut être considéré, caressé, persécuté, pour son rêve, rien que pour son rêve ! C'est son dada ! Même le plus digestif, le plus bâfreux, le plus poubelleux des hommes est toujours plein de prétentions mystiques.
Toutes les dialectiques sophistiqueries matérialistes ne sont que tout autant de gaffes grossières, apologies tarabiscotées de la merde, très maladroites.
Rien de bandocheur. Rien qui délivre, qui allègre, rien qui fasse danser l'homme. Vous ne verrez jamais que les êtres de pire bassesse, les voués, les maniaques intestinaux, les mufles essentiels, les hargneux boulimiques, les éperdus digestifs, les pleins de ripailles, les fronts écrasés, les bas de plafond, s'éprendre de tous ces programmes utilitaires forcenés, même travestis "humanitaires".
Rabelais s'est trompé. La tripe ne mène pas le monde, elle le perd. Maudite soit la tripe ! La France crève de ne penser qu'à sa tripe.
Gageure stupide d'attendre la panacée, la civilisation rédemptrice des pires hantés du cœcum, des plus prometteurs recordmen du plus gros étron.
C'est folie ! La charogne la plus exaltée, la plus juteuse, la plus ardente en pourriture, la plus copieuse, ne peut faire naître malgré tout que des larves. On peut tenir l'Homme pour extrêmement charognier, cependant, malgré tout, sur la question de l'utilitarisme, les larves le baiseront toujours.
Les séducteurs du matérialisme, pour une fois, c'est miracle ! ont visé trop bas, en parlant aux hommes.
Cela paraît presque impossible ! Un peu trop bas en charognerie, d'où l'abracadabrante faillite de tout le systèmemaçonnique, judaïque actuel, soviétique, démocratique, rationaliste.
Supercheries calamiteuses, supercafouilleries, épilepsies de plus en plus exorbitées, hurlantes, obscènes.
Faillis ! Crochet ! Vendus ! Barrez ! Hideux ! Assez ! Au bagne ! Désolants cuistres radoteux ! miraux convulsionnaires ! prosaïstes époumonés ! supermufles outrecuidants, la Fête est finie ! Vous n'avez fait danser personne ! Vous êtes incapables ! funestes ! impossibles ! Vous excédez la terre entière avec vos fausses notes !
Vous êtes mauvais à en périr ! Et vous périrez ! On va vous engouffrer aussi.
La masse va vous tourner en merde, votre masse chérie.