Dans nos démocraties larbines, ça n'existe plus les chefs patriotes.
En lieu et place c'est des effrontés imposteurs, tambourineurs prometteurs "d'avantages", de petites et grandes jouissances, des maquereaux "d'avantages".
Ils hypnotisent la horde des "désirants", aspirants effrénés, bulleux "d'avantages". Pour l'adoption d'un parti, d'un programme, c'est comme pour le choix d'un article au moment des "réclames", on se décide pour le magasin qui vous promet le plus "d'avantages".
Je connais moi des personnes, des véritables affranchis qui sont en même temps marxistes, croix-de-feu, francs-maçons, syndiqués très unitaires et puis malgré tout, quand même, encore partisans du curé, qui font communier leurs enfants.
C'est des camarades raisonnables, pas des fous, qui veulent perdre dans aucun tableau, qui se défendent à la martingale, des Idéologues de Loterie, très spécifiquement français.
Quand ça devient des racailles pareilles y a plus besoin de se gêner. C'est du temps perdu. Des efforts pour le caca… tout à fait inutiles…
Plus de mystique possible. Aucun rétablissement possible. C'est fini. Culbute. Même tabac d'ailleurs, droite ou gauche. Que des boyaux avides partout. Juste des conflits d'égoïsmes, implacables, que les Juifs admirablement truquent, tripatouillent, irritent, enflamment, étouffent, embringuent, tarabiscotent à leur profit.
La conjuration juive mondiale seule véritable réussite de notre civilisation.
Nous n'avons plus de patriotes. C'est un regret de bétail, on en a presque jamais eu de patriotes. On nous a jamais laissé le temps. D'une trahison dans une autre, on a jamaiseu le temps de souffler… D'une guerre dans une autre…
On nous a toujours trafiqués, vendus comme des porcs, comme des chiens, à quelque pouvoir hostile pour les besoins d'une politique absolument étrangère, toujours désastreuse.
Nos maîtres ont toujours été, à part très rares exceptions, à la merci des étrangers. Jamais vraiment des chefs nationaux, toujours plus ou moins maçons, jésuites, papistes, juifs, selon les époques, les vogues du moment, dynasties, mariages, révolutions, insurrections, tractations, toujours des traîtres en définitive.
Jamais nos chefs n'ont eu les mains très nettes. Les Mazarins, les demi-Talleyrands, les sous-Mirabeaux, les Vergennes, les Briands, les Poincarés, Jaurès, Clemenceaux, Blums abondent dans notre histoire.
Nous sommes les snobs, les engoués d'une certaine forme d'anéantissement par traîtrise. De nos jours, toute la vaillance, l'exultance, le frénétisme de nos meneurs, preux "redresseurs", "rétablisseurs" patriotiques, maréchaux ou pas maréchaux, consiste à renchérir encore sur la tradition de traîtrise, à procurer fanatiquement, plus économiquement encore, si possible, des viandes françaises guerrières aux gouvernements étrangers.
La fonction paye admirablement. Marché conclu, ils n'ont plus nos maîtres "redresseurs" qu'à se laisser porter de gloire en gloire, plus qu'à se régaler toujours plus éperdument, effrontément, à s'en foutre des bâfrées terribles, à pleins râteliers, toujours plus copieuses, mieux garanties par l'État, superpontifiantes, à s'en faire éclater toutes les sous-ventrières et puis encore d'autres prébendes, cumuls, tantièmes, légions, cordons ! Ça va ! ça vient ! Ça fonctionne les honneurs, les consécrations !
Des pourlichages à plus finir en d'autres fentes moult conciliables ! De plus en plus Vénérables ! Des caresses partout ! Des "fourrées" invincibles ! De la P. P. aux Invalides, de l'Élysée au Panthéon.
N'ont en France jamais réussi que les traîtres, les saltimbanques, et les donneurs.
Peuples creux.