Parlons un peu sérieusement. Parlons un peu de notre avenir. Elle va durer combien d'années la prochaine "dernière" ? La reder des ders ?...
Dix ans ça semble un minimum. Les spécialistes nous rencardent qu'ils ont fait des progrès splendides en armes défensives, mais qu'ils sont beaucoup moins fiers des engins d'attaque.
En comparaison c'est loupé.
Les offensives caneront pour sûr, figeront, cafouilleront dans les barrages. C'est écrit. Voyez l'Espagne…
Les mitrailleuses nouveau régime, sont invincibles, infranchissables. Donc des hostilités très longues, très coûteuses, très meurtrières, très pâteuses, anéantissantes pour tout dire.
La prochaine nous coûtera au moins dans les vingt-cinq millions de morts, tant civils que militaires. C'est moins qu'on peut estimer, par mitrailles, bombes, insurrections, épidémies, etc…
C'est le minimum optimiste pour la France vaillante, cocue et pas éternelle. Nous aurons trois, quatre et cinq fronts pour déployer nos héroïsmes, de la vraie gâterie. Que nous sortions vainqueurs ou vaincus de ces fariboles, le résultat sera le même pour nous.
Strictement réduits à zéro, France anéantie par disparition des Français ! Ils ont beaucoup trop saigné, les Français, depuis 89. Ils perdent cent mille soldats par an, par malthusianisme. Ils ne font plus d'enfants. Une guerre par-dessus le marché ?
Ça sera pas la vraie "lutte finale", ça sera la boucherie terminale, la folle saignée torrentielle, démentielle, exhaustive.
L'hémorragie à blanc.
Moi je peux bien donner mon pronostic, je suis médecin, j'ai le droit. L'issue de la prochaine on s'en fout, puisque de toutes les façons, nous serons portés disparus, repassés en cours de route.
Ça peut pas nous intéresser, ni la victoire, ni la défaite, puisque de toutes les manières, nous ne verrons ni l'une ni l'autre, nous serons décédés bien avant, emboutis, broyés, émiettés dans les fracasseries enthousiastes, les croisaderies libératrices fantastiquement fulminantes.
On retrouvera même pas nos cendres tellement on sera partis violents. Nous disparaîtrons corps et âme de ce territoire, bien avant la dernière bataille la Patrie elle existera plus, fumée ! ça sera des souvenirs de boudins, des fictions épongées au sang.
À la fin de la prochaine guerre, on aura vu tellement de choses, il s'en sera passé des si drôles, qu'on se souviendra même plus de ceux qui l'auront commencée, ni pourquoi ils l'ont commencée…
Ils existeront plus les Français, ce sera pas une très grande perte, des hurluberlus si futiles, si dégueulassement inflammables pour n'importe quelle connerie.
Nous disparaîtrons corps et âme de ce territoire comme les Gaulois, ces fols héros, nos grands dubonnards aïeux en futilité, les pires cocus du christianisme.
Ils nous ont pas laissé vingt mots de leur propre langue.
De nous, si le mot "merde" subsiste ça sera bien joli.
Avec notre natalité déjà si piteuse, d'aztèques, de décadents risibles, notre biologie chancelante, nos métissages dégradants, notre rabougrisme spirituel, notre alcoolisme épanoui, nous ne pouvons nous payer à aucun prix le luxe d'une autre guerre.
C'est classé. La guerre pour nous, n'importe quelle guerre, malheureuse ou victorieuse, c'est tout pareil, c'est du suicide.
La prochaine mobilisation, une de trop, on pourra bien l'encadrer, ça sera notre "Faire-Part" ! "Faire-Part-National" ! dans l'Union nationale, pour la Conscience universelle.
Notre population autochtone, déjà si dangereusement abâtardie par les croisements négroïdes, afro-asiatiques, les apports de juifs tordus, le confusionnisme maçonnique, la trahison raciale, la dégénérescence érigée en religion sublimement humanitaire ne résistera pas à deux années de systématiques tueries.
Les Français, dès le premier jour, dès la gare de l'Est, s'en iront littéralement fondre dans la catastrophe, on n'en retrouvera plus la trace. Encore une autre épuration comme celle de 14 et c'est la fin du cheptel.
La Gaule "chevelue" ! comme ils l'appelaient, et puis la "Gaule chauve", elle deviendra la "Gaule des cimetières".
Tout simplement. Feu l'indigène sera départi sans le moindre espoir de retour.
Il fallait bien le dire à la fin. Ça peut pas servir à grand'chose, mais c'est agréable.